Nous nous intéressons ici à prendre en charge les conséquences de traumatismes, à savoir les événements douloureux dans le passé d’une personne qui lui causent de la souffrance dans le présent et dans sa vie (événements plus ou moins violents … sachant qu’il n’y a pas véritablement de « petits traumas » et que le cumul existe)
La proposition consiste à traiter l’état de stress post-traumatisme (ESPT) :
Ces conséquences sont très normales, car très humaines. Au fil du temps, si vous constatez que cela vous est difficilement supportable (trop de souffrance, depuis trop longtemps, usure de subir ces automatismes, épuisement de vivre ces phénomènes, envie d’en sortir, …), alors, vous pouvez entreprendre une démarche d’exploration de vos traumatismes pour mieux vous en libérer et cultiver une résilience pour retrouver une plus grande sérénité de vie.
Ce n’est pas une fatalité de subir toutes ces souffrances. Vous avez le droit et la légitimité de vous en libérer et de retrouver une vie plus apaisée.
La thérapie proposée ici repose sur une approche d’efficacité, en processus bref, appelée thérapie IMA Express ® [*]. Neurothérapie fondamentalement intégrative, elle consiste en une approche psychocorporelle. En effet, quand nous subissons un traumatisme, nous ancrons des marqueurs de pensées, d’émotions et sensations physiques, dont nous gardons la mémoire (souvent dans notre inconscient, pour nous protéger, et notamment quand il n’a pas été possible de fuir ou de se défendre, mais uniquement de subir).
Par la synthèse de différentes techniques scientifiquement validées [**] (mouvements alternatifs basés sur le modèle EMDR® ou autres Tapping ou sons Biolatéraux®, Brainspotting® , Hypnose, Autohypnose, Somatic Experiencing® , Méditation de pleine conscience MBSR® (Réduction du Stress Basée sur la Pleine Conscience), cohérence cardiaque, Emotional Freedom Technique EFT®), nous identifions les scènes traumatiques du passé, grâce la persistance des pensées, émotions et cognitions attachées à ces scènes (d’où ces liens par cette approche psychocorporelle), en préservant la sécurité émotionnelle (ces explorations n’étant pas neutres).
Puis nous les explorons et les revisitons, de sorte à s’y confronter et progressivement constater qu’un recul bénéfique va se créer de lui-même, en mettant de la distance (moins de pensées obsédantes, moins d’automatismes des émotions négatives, moins de souffrances physiques).
L’ancrage dans le présent nous permet de mieux distinguer ce qui appartient au passé et de nous en libérer, nous permettant ainsi d’envisager un avenir plus apaisé et plus serein, grâce à cette sécurité émotionnelle qui permet à l'intégration de se poursuivre dans les jours et semaines qui suivent. L’ancrage (qui fait volontiers écho à la pleine conscience est utile pour apaiser le patient en fin de séance ou en cas de sortie de sa fenêtre de tolérance).